• Chapitre 92 : Cadeau surprise

    Le lendemain, Sam dormait encore quand Jack emmena Charlie à l’école. Il savait que la jeune femme avait besoin de repos. Avant de se lever, il l’avait regardé. Elle était si belle quand elle dormait. Son amour pour Sam était encore plus fort maintenant qu’au premier jour. Sam reprenait des forces et ses bleus avaient tous disparus. Bientôt, elle pourrait reprendre le travail et oublier tous ça.

    Le militaire avait donc déjeuné avec son fils et après que chacun eut prit une douche, ils partirent. Jack passa prendre le pain en passant. En rentrant chez lui, il prit le courrier dans la boîte aux lettres. Il y avait des publicités, quelques factures et une lettre. Jack l’ouvrit et découvrit deux billet pour un match de base-ball qui aurait lieu le soir même. Il y avait une lettre qui les accompagnait. Elle disait qu’il avait été tiré au sort parmi plein de personne et qu’il avait donc gagné deux billets. Jack s’étonna car il n’avait participé à aucun tirage au sort. Mais, tout avait l’air réel. Il haussa les épaules et entra chez lui.

    Dans le même temps, Sam s’était réveillée seule. Elle regarda le réveil et comprit que Jack l’avait laissé dormir et qu’il était parti emmener Charlie à l’école. Elle se leva et alla prendre des vêtements propres. Puis, elle se rendit dans la salle de bain afin de prendre une douche. Cela lui fit un bien fou. Puis, elle descendit dans la cuisine et prit un bon petit déjeuner. Ensuite, elle changea tout et alla déballer les affaires qu’elle avait achetées la veille. Elle défit les étiquettes et alla dans la buanderie pour faire des lessives.

    Jack ouvrit la porte et enleva sa veste ainsi que ses chaussures. Il alla dans la cuisine et vit que Sam était passé par là. Il la chercha et entendit du bruit dans la buanderie. Il y alla et trouver Sam en train de trier le linge.

    - Sam, tu devais te reposer, je crois ? Dit Jack, en étant appuyer sur la chambarde de la porte.

    - J’en ai marre Jack de me reposer. Soupira-t-elle.

    - Je comprends mais quand même. Je l’aurais fait dans la journée la lessive. Répondit Jack.

    - Je sais mais j’en ai profité car je voudrais laver mes affaires que j’ai achetées hier. Répliqua la jeune femme en montrant les habits qu’elle avait dans la main.

    Jack jeta un coup d’œil et vit des nouveaux sous-vêtements. Il sourit en comprenant ce Sam les avait acheté la veille.

    - Je crois que tu as fait de beaux achats. Ajouta-il en souriant.

    Sam regarda pourquoi son fiancé lui disait cela et elle comprit en voyant la lingerie sur le sol plus loin. Ses joues changèrent de couleur.

    - C’est adorable Sam. J’ai hâte que tu l’essayes. Répondit-il en avança vers elle et en la prenant dans ses bras.

    - Oui, moi aussi. Ça me manque. Murmura-t-elle.

    - Ah, tu es devenu accro à moi. Ça me manque aussi mon ange. Mais, ta santé passe en priorité. Je te promets que dès que tu seras complètement rétabli, on passera une nuit entière à faire l’amour. Cela sera l’occasion parfaite pour me montrer tes nouveaux achats. Affirma Jack en souriant.

    En effet, les petites blessures que Sam n'étaient plus là mais ses côtes avaient encore besoin de temps pour se ressouder. Elle avait encore mal par moment. Jack le savait bien et pour cela, qu’il voulait attendre avant qu’ils puissent faire un peu de sport en chambre. Malgré son envie, la santé de Sam lui importait plus.

    - Je n’oublierais pas cette promesse, monsieur O’Neill. Tu peux me faire confiance. Rétorqua Sam avec une voix sensuelle.

    - Oh, ça je sais. Reprit Jack.

    Puis, il lui donna un coup de main pour trier le linge et mettre une machine en route. Puis, ils allèrent s’asseoir sur le canapé. Ils passèrent un moment dans le calme à discuter l’un contre l’autre.

    - Ah, en rentrant tout à l’heure, j’ai reçu une lettre qui m’a annoncé  que j’ai gagné deux places pour un match de base-ball de ce soir. Dit Jack.

    - C’est super, tu n’as qu’à y aller avec Charlie. Vous pourrez passer un peu de temps ensemble. Répondit Sam.

    - Tu es sûr que ça ne te dérange pas ? Demanda le militaire.

    - Bien sûr que non. C’est ton fils, Jack et c’est normal que vous passiez du temps tous les deux sans moi. Tu sais, quand j’ai accepté de t’épouser, je savais que Charlie faisait aussi partie de ta vie et donc de la mienne aussi à présent. Mais, vous avez besoin parfois de soirée tous les deux, rien qu’entre homme. Je suis sûr que cela lui fera plaisir. Et ne t’en fais pas pour moi, je sais me débrouiller toute seule et puis c’est juste le temps d’une soirée. Annonça la jeune femme.

    - Tu es un amour, ma chérie. Je suis le plus heureux des hommes. Tu es si compréhensive. Je t’aime. Déclara Jack.

    - Je t’aime aussi, mon amour. Répliqua-t-elle et ils s’embrassèrent.

    La journée avança doucement. Jack alla tondre la pelouse qui en avait bien besoin. Pendant ce temps, Sam s’était mis à faire un puzzle. Elle l’avait acheté lors de la virée shopping avec Janet. Elle n’en avait plus fait depuis très longtemps. Sa mère et elle adoraient faire cela. C’est sa mère qui l’avait initié à cette activité. En faisant cela, Sam pensait à elle. Faire un puzzle l’a détendait également et lui permettait de vider son esprit.

    Puis, Jack alla chercher Charlie. Il lui annonça pour la surprise et le jeune garçon sauta de joie. Il était content d’aller voir un match de base-ball de son équipe préféré en plus. Une fois rentré, Sam aida Charlie pour les devoirs. Puis, le jeune garçon alla enfila le t-shirt de son équipe.

    - Tu es sûr que ça va aller Sam ? Demanda-t-il avant de partir.

    - Oui, ne t’inquiète pas mon grand. Amuse-toi bien et profite bien. Tu sais, je suis assez grande à présent pour passer une soirée toute seule. Répondit Sam en souriant.

    - Oui je sais mais comme tu n’es pas encore remis. Ajouta Charlie.

    - Je vais de mieux en mieux. Passe une bonne soirée avec ton père. Répliqua-t-elle.

    - Merci, toi aussi. Bonne soirée. Dit-il en allant mettre ses chaussures.

    Jack embrassa Sam et lui dit :

    - Oui, passe une bonne soirée mon ange. A tout à l’heure.

    - Merci, à tout à l’heure. Répondit-elle.

    Elle les accompagna sur le pas de la porte et les vit partir tous les deux. La jeune femme ferma la porte et la verrouilla. Puis, elle alla mettre son pyjama et s’installa devant la télévision dans le salon.


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