• Chapitre 34 : De l’aide

    Cléopâtre utilisait toujours le bâton de torture sur Matt. Elle s’est acharnée sur lui car il lui résistait. Matt avait des ressources hors du commun. Il n’avait toujours pas lâché un cri même si la douleur devait être insupportable. Il pensait à sa mère et à son père qui étaient là devant lui. Il ne voulait pas les voir tué sous ses yeux, il ferait tout son possible pour que cela n’arrive pas. Et même mourir à leur place. Il était prêt à faire le sacrifice de sa vie pour eux. Ils étaient trop important à ses yeux et même si ce n’était pas ses parents tel qu’il les connaissait c’était quand même eux.

    Il avait découvert son père sous un autre jour. Il était plus jeune et sa mère était fantastique. Il avait été étonné par son intelligence malgré le fait qu’il le savait déjà. Sa mère avait géniale avec lui, elle ne connaissait toujours pas sa véritable identité. Mais elle l’avait bien accueilli et elle l’avait aidé.

    Jack et Sam observèrent Matt qui était très fort, il ne lâchait pas et tenait bon face aux tortures du goa’uld. Jack était fier de son fils. Cléopâtre voyait les yeux et le visage de l’adolescent, il souffrait et cela se voyait.

    Elle dit :

    - Je n’en pas finis avec toi, tu peux me croire. Tu as osé me défier et tu vas en payer le prix.

    Elle posa le bâton puis elle leva son bras et le dispositif du ruban s’activa. Un flux d’énergie orange alla jusqu’à la tête de Matt. Ce dernier se trouvait à genoux. Il ressentait de nouveau une vive douleur, il était en train de souffrir le martyre. Il tenait bon mais pour combien de temps encore.

    Cléopâtre avait un grand sourire, elle adorait voir la personne face d’elle souffrir. Voir le visage de l’être inférieur qui la supplie est un pur bonheur pour elle. Matt grimaça ce qui montrait sa douleur. Soudain, plusieurs secousses firent trembler le sol. Cléopâtre fut déstabilisée, elle ne s’attendait pas à être interrompue. Son bras tomba et Matt s’écroula sur le sol.

    Tout le monde était surpris de cette apparition. En effet, les militaires savaient enfin, ils espéraient que se soit Jacob. Trois jaffas apparurent dans la salle et allèrent vers leur déesse.

    - Mais que se passe-il ? Cria-t-elle.

    - Je suis désolé, ma reine. Mais nous sommes attaque par deux Tel’tak. Répondit un de ses serviteurs.

    - Ce n’est pas possible. Utilisez les canons et détruisez-les tout de suite ! Ordonna la déesse.

    - Oui ma déesse. Répondit à nouveau le jaffa. Il se releva et lui et ses deux compères s’élancèrent sort de la pièce.

    Cléopâtre se tourna vers Jack qui était attaché sur le siège des supplices et lui dit :

    - Vous croyez que vous allez m’échapper mais ne rêvez pas.

    Les secousses se firent de plus en plus nombreuses. Les tunnels commençaient à en ressentir les effets. En effet, des particules et des gravats s’échappaient de la roche et tombaient. Teal’c et Brat’ac avaient décidé d’agir car c’était le moment ou jamais. Cléopâtre était désorientée et semblait perdue. Elle ne s’était pas attendue à une aide extérieure. Teal’c et Brat’ac en profitèrent et chacun s’attaqua à un des jaffas qui les gardait. Deux autres militaires les suivirent. Les quatre jaffas ennemi furent attaqués en même temps.

    Teal’c donne un coup de coud dans le ventre de son adversaire. Puis il se retourna et lui assena un coup de poing. Son adversaire n’avait pas eu le temps de réagir et il tomba sur le sol. Teal’c en profita pour lui dérober son zat qu’il avait à la ceinture. Pendant ce temps, Brat’ac s’occupa du deuxième jaffa qui se trouvait près de lui. Il lui donna un coup de pied retourné puis il passa son bras autour de son cou. Le jaffa s’évanouit avant qu’il comprenne ce qu’il était en train de lui arriver.

    Les deux militaires s’attaquèrent aux deux autres ennemis qui restaient et qui étaient à leur portée. Les jaffas avaient réussit à réagir à temps. Un combat s’engage alors entre les terriens et les ennemis.  Dans le même temps, Teal’c prit le zat et envoya une décharge vers Cléopâtre. Elle avait vu trop tard l’attaque contre ses serviteurs. Elle n’avait pas pu réagir, elle était sous le choc de voir que quelqu’un était venu en aide aux prisonniers.


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