• Chapitre 25 : Recherches

    Jack se réveilla avec un gros mal de crâne. Il vit Daniel et Teal’c, qui étaient assis à ses côtés.

    Il dit :

    - Vous avez retrouvé Sam ?

    Daniel soupira :

    - Content que vous êtes réveillé. Non, nous ne l’avons pas encore retrouvé. Je suis désolé. Pour le moment, nous n’avons aucune piste pour savoir où il l’a emmené.

    - Je ne la laisserai pas, jamais. Il faut faire des recherches sur ce type. Comment il s’appelle déjà ? Dit Jack.

    - Gordon Daniels. Répondit l’archéologue.

    - Oui, voilà. Trouver dans les fichiers s’il a de la famille qui pourrait l’aider, où, s’il a des biens immobiliers. Enfin, vous voyez tous ce que vous pourrez trouver. Ordonna le colonel.

    - On est venu avec deux équipes SG, ils nous ont appelé. Ce type vous a agressé dans la nuit lorsque vous et Sam étaient en train de rentrer. Il avait garé sa voiture un peu plus loin à l’abri des regards. Les traces de pneus vont jusqu’à la route principale et après plus rien. Expliqua Daniel.

    - Appelez le SGC qui nous donne les renseignements que j’ai demandés. Vociféra Jack.

    Ce dernier se leva et se rhabilla. Daniel tentait de l’en dissuader mais c’était peine perdue. Il savait que Jack n’abandonnerait jamais Sam. Il l’aida puis appela le SGC. Il tomba sur le sergent Harriman.

    - Je voudrais que vous fassiez des recherches sur un certain Gordon Daniels.

    - D’accord, que voulez-vous savoir ? Demanda le sergent Harriman.

    - S’il a de la famille, où ils habitent et s’il a des biens immobiliers. Répondit Daniel.

    - D’après les fichiers, ses parents sont morts quand il était adolescent. Il a été recueilli par son oncle, puis il est rentre dans l’armée et s’est mariée trois ans plus tard. Son oncle est mort, il y a deux ans. Sa femme est partie et ils ont divorcé. Il a un appartement à New York qu’il a mis en location. Énonça le soldat.

    - D’accord, regardez si son oncle lui a légué quelque chose. Questionna Daniel.

    - Il y a une maison qui se trouve à soixante kilomètres de votre position, c’est le seul bien qu’il a hérité. Déclara le sergent Harriman.

    - Merci, sergent. Répondit le docteur Jackson en raccrochant.

    - D’après les données qu’on a sur lui, il possède une maison à environ soixante kilomètre d’ici. Affirma Daniel.

    - On y va. Dites aux deux équipes SG de nous rejoindre là-bas mais assez loin pour mettre en place une tactique d’approche. Lança Jack.

    - Allons-y. Décréta Daniel.

    Ils se mirent en route pour rejoindre la maison du type, qui avait enlevé Sam. Jack espérait qu’elle allait bien.

    Pendant ce temps, Sam était toujours dans le sous-sol de la maison. Elle était fatiguée et elle avait faim. Ses côtes l’a faisaient de nouveau souffrir, la corde lui avait écorché les poignets et les chevilles. De plus, elle lui brûlait la peau. Soudain, la porte s’ouvra encore une fois.

    Le type descendit les escaliers et s’écria :

    - Alors, ma belle, tu es prête à jouer avec moi.

    Sam se recoquilla sur elle-même en espérant de toutes ses forces qu’il allait la laisser tranquille.

    - Tu crois toujours que ton amant va venir. En l’attendant, on va jouer. Lança Gordon.

    Il fit face à Sam et caressa son bras. Sam frémit de peur et se débattit comme elle put en criant :

    - Laissez-moi tranquille ! !

    Quand elle sentit quelque chose de froid sous sa gorge, elle s’arrêta.

    - Tu vas rester sage ou sinon tu le regretteras. Cria l’homme, en glissant un couteau sous la gorge de sa victime.

    Il l’avait tellement pressé son arme, que du sang coula le long du cou de Sam. Elle sentit une douleur et vit d’un œil qu’elle était blessée. L’homme revint à la charge et l’embrassa sauvagement. Sam tenta de l’en dissuader en se mordant les lèvres mais il réunit à passer outre et sa langue alla la rencontre de celle de Sam. Quand il s’arrêta, Sam le mordit violemment.

    Il s’énerva :

    - Espèce de salope, tu vas me le payer ! ! !

    Avant qu’elle puisse réagir, Sam reçut une gifle qui lui fit tourner la tête sous le choc. L’agresseur lui arracha avec force le haut de sa robe. Elle se retrouva vêtue de son soutien gorge blanc.

    - Tu es encore mieux sans cette fichue robe. Se moqua le type  

    Il s’approcha à nouveau et avec ses bras, il l’allongea sur le matelas. Il l’embrassa encore une fois et lui caressa la poitrine. Elle répétait en hurlant :

    - Arrêtez, je ne.. veux pas, non ! ! !

    Sam n’en pouvait plus, ses forces l’abandonnaient petit à petit. Mais, elle ne voulait pas qu’il la touche, il n’y avait que Jack qui pouvait. Dans un dernier effort, elle lui donna un coup de tête. L’homme recula, il fut un peu étourdit, Sam en profita pour prendre le couteau et coupait les liens. Ses mains étaient libres mais avant qu’elle n’eut le temps de défaire les attaches de ses pieds, l’homme revint à la charge. Il lui donna un coup de poing dans le ventre, Sam tomba à genoux. L’homme ramassa son couteau que Sam avait laissé tomber. Il lui entailla le bras, du sang se mit à couler. Sam cria de douleur.

    - Tu n’aurais pas dû de détacher. Tu vas mourir ! ! Vociféra le type

    Sam était au sol, elle avait mal partout. Elle n’arrivait plus à lutter. 


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